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Vivre...

Vivre la vie , être comme on est et comme on peut, les hauts les bas . Vie quotidienne ,cuisine , photos ,citations et mes expériences .

Paris Bamako

Cantine épicerie afrochic

Pour qui ? Un(e) branché(e) fondu(e) d’Afrique de l’Ouest
Plat culte ? Le mafé de Maman (bœuf fondant, sauce parfaite)

Des bons restaurants africains à Paris, il y en a un paquet. À quelques numéros du Grand Hôtel Amour, celui-ci déboîte tout avec sa déco design : suspensions et minitabourets en rotin, imprimé wax, fresque arty de Mandela à l’entrée… Trentenaire d’origine malienne, le chef Fousseyni Djikine a troqué son costume de consultant pour les fourneaux. Une affaire de famille lancée en juillet dernier, avec frérot au service et papa en maître de salle.

La carte ? Plutôt axée Sénégal, Mali et Côte d’Ivoire. Mafé, yassa et tiep à l’honneur donc (aussi en version vegan), avec de temps à autre quelques surprises. Comme ce midi-là, un réconfortant matoké ougandais : bœuf mijoté sauce tomate flanqué de bananes plantains fondantes et de frites de manioc plus sécos (13 €). Pour faire glisser, zéro alcool mais jus de bissap maison à base de fleurs d’hibiscus ou rooibos glacé bio de la marque sud-africaine Bos (3 € la pièce). On termine avec des beignets aux agrumes pas folichons. Pâte compacte, pas assez zestée, avec un goût prononcé de levure chimique, que la confiote d’hibiscus peine à dissiper. Autre bémol : l’attente (20 minutes pour un plat à puiser dans une marmite chaude).

Le plus : à emporter, crème de saka-saka, purée de piment, thés de la marque sud-africaine Cape and Cape… Repartez le sac plein de produits fins africains !

PAR TINA MEYER

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